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A story to tell

30 juin 2012

"Envole-moi"

Bonsoir.


Une fois de plus, je me vois déplorer la lente descente aux enfers de notre société dyonisienne. C'est effarant ce que la lâcheté a envahi nos rues. Le respect n'a plus de traces que ce que nous pensons être quelque chose de respectable.


Est-ce respectable d'agresser, à cinq qui plus est, une personne âgée ? De 101 ans, même, si je puis me permettre. Où est le respect ? Ce n'est déjà pas glorifiant ni courageux d'agresser quelqu'un... Mais à cinq sur une personne de cet âge ? Qu'est-ce donc sinon de la connerie pure ? D'autant que les agresseurs ont été vus de dizaines de témoins et de tout un circuit de caméras de surveillances. L'idiotie atteint des sommets par-ici. C'est affligeant. A en vouloir devenir sociopathe. 


C'est totalement déplorable. Inhumain. Pleutre. J'en passe et des meilleures une fois de plus ! Comment voulez-vous que nos enfants grandissent dans un monde pareil ? Comment voulez-vous que cette médiatisation ; que certains pensent abusive et critiquent ; des banlieues cesse ? Il faut bouger ! Je préfère bouger et me faire taxer de sale raciste, que de plier et me retrouver dans un monde que je vais regretter. Le cas que je cite n'est pas anodin, à Saint Denis. Il y en aurait presque des dizaines par jour... Sans que rien ne se passe. On pourrait appeler en disant qu'on se fait violer, on nous dirait d'attendre cinq minutes et que notre cas n'est pas si désespéré. 


Non. Notre cas n'est pas si désespéré. On ne peut pas non plus enregistrer nos plaintes parce qu'il n'y a plus de papier dans l'imprimante. On attrape un violeur multi-récidiviste et on le relâche deux heures plus tard. On poursuit une bande qui a commis 15 agressions et on la laisse filer.


Dans quel monde vit-on, au juste ? Dites-le moi...


Je repense à la chanson de Goldman. Envole-moi. Que dit-il ? 


« Minuit se lève, au haut des tours

Les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd

La nuit camoufle, pour quelques heures la zone sale et les épaves et la laideur.

J'ai pas choisi de naître ici : entre l'ignorance et la violence et l'ennui.

Je m'en sortirai. Je me le promets. Et s'il le faut j'emploierai des moyens légaux. »


... Des fois, oui. On se le demande.


Que doit-on faire ?

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29 juin 2012

"Je suis une pute"

Bonsoir.

On a beau dire, l'arbre cache la forêt. Et ce n'est pas faute d'essayer de l'abattre. C'est juste légèrement inutile quand on sait ce qui se présente derrière. Autant faire simple : la vie en banlieue est médiatisée sur la délinquance. Dans la belle métaphore « l'arbre qui cache la forêt » c'est bien la délinquance qui joue l'arbre. Maintenant, la forêt, c'est le plus grand problème qui se pose.

Cette forêt, c'est tout simplement l'incroyable montée de l'islamisme depuis longtemps. C'a commencé avant même que je naisse. Et ça risque de continuer après ma mort. Ce n'est juste pas l'objectif principal de se faire envahir. 


Où est donc la fierté de la nation française ? Je vous le demande ! A Saint Denis (93, très médiatisé mais pas sur ce qu'il faut j'en ai bien peur) un projet de mosquée a été lancé. Ladite mosquée est financée par Ryad. N'est-ce pas un peu abusé ? Une mosquée financée par un état qui ne respecte pas les droits fondamentaux de l'homme et de la femme, si je me souviens bien. S'ils veulent une mosquée, il y en a une à Drancy. Certaines personnes font des kilomètres pour aller à l'église ou la synagogue. En quoi cela est-il gênant de prendre le tramway pour aller à la mosquée ? Le pire reste que l'imam de cette mosquée sera payé par l'état. STOP ! Dois-je vous rappeler que la France est un état LAÏQUE et que par conséquent... ne subventionne ni ne finance aucun culte religieux ? Cela passe par : ne PAS payer le prêtre qui pratique ce culte avec sa communauté.

C'est dur, oui. Mais il n'y a que la vérité qui blesse. 


J'en oublie des points importants... 


Comme... le fait que les rayons de Carrefour deviennent une bibliothèque. Sans plaisanter, il y a une bibliothèque en face de notre bien aimée et choyée Basilique Royale. Celle-là même où sont les gisants ; et les pauvres doivent faire la toupie dans leurs tombes en apprenant ce qui se passe dehors. Savent-ils même que quelqu'un a tenté de casser les vitraux de plus de 800 ans d'âge de cette construction du 12e siècle qui fait la fierté du patrimoine d'Île de France ? 


Et chaque jour, la même phrase me revient en tête : I can't believe the news today* (*je ne peux pas croire les nouvelles d'aujourd'hui). 


Nous n'avons presque plus aucune boucherie qui ne soit pas hallal. C'est à vouloir en ouvrir une qui soit franco-chrétienne ! Et on oublie vite que ce sont de petits détails de la sorte qui entament les grandes marches. Aujourd'hui, ce sont les boucheries. Et demain ?

Dans la rue, une femme sur 5 est voilée, dont 3 en niqab, le voile intégral. Et sur ces 5, 4 subissent des violences hautement répréhensibles aux yeux de la loi. Claustrées, forcées au silence... Ce ne sont plus des femmes, mais des objets. Nous sommes tout de même dans un état garantissant la protection de la femme et une parité sans distinctions. 

Je trouve que c'est se moquer du monde et de la loi ouvertement que de porter le voile, ou en forcer le port, et faire subir des violences. 

La politesse est un savoir qui se perd. Combien de fois n'ai-je entendu que j'étais une traînée ? Et bonjour, vous ne connaissez pas ? Quitte à me faire injurier et traiter de prostituée, j'aimerais autant qu'on me dise bonjour, merci et au revoir ! Et merci, pour avoir écouté ou fait mine d'écouter. Parce que je trouve cela abusé de vivre de la sorte. Je ne sais même pas si je vis encore.

Je porte un jean ? Je suis une pute.

Je m'attache les cheveux ? Je suis une pute.

Je me détache les cheveux ? Je suis une pute.

Je porte un t-shirt à manches longues ? Je suis une pute.

Je porte un t-shirt à manches courtes ? Je suis une pute.

Je porte des ballerines ? Je suis une pute.

Je porte une robe ? Je suis une pute facilement baisable.

Je porte une jupe ? Je suis une pute facilement baisable.

Je porte un décolleté ? Je suis une pute super facilement baisable.

Je porte des talons ? Je suis une grosse pute baisable.


Je suis une pute. Et je l'assume. La loi m'autorise à m'habiller comme je le souhaite. Comme moi je le choisis et pas comme quelqu'un le choisis pour moi. Je suis une grosse pute super facilement baisable et incivique. Au moins, je vis.


Je note également que le "sacro-saint-Coran" qui sont édités et vendus chez nous ne sont même pas les copies de l'original. Jamais le Coran d'origine n'autoriserait le viol, de battre sa femme, de lancer croisade contre les autres religions, les massacres. J'en passe, et des meilleures. Pour une religion  qui se dit tolérante, je trouve ça... juste... impossible. Le bel oxymore que voilà ! 


Enfin, je vais m'arrêter là. Parce que j'ai beau être une pute, comme ils le disent si bien, moi au moins je sais m'arrêter pour mieux reprendre.

Je trouve également déplorable que toute personne voulant réagir soit taxée de raciste nationaliste fasciste royaliste capitaliste colonialiste intolérant.


Nous sommes en France. Une nation laïque. Qui héberge la liberté, la fraternité, la liberté. N'est-ce pas NOTRE devise ? LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ ? Où est-elle ? Je vous le demande... A part sur les frontons de nos mairies... OÙ est-elle ? Il n'y a plus aucun respect des moeurs françaises.


Je pense à Colombey-Les-Deux-Eglises. Que doit penser De Gaulle depuis son nuage là-haut ? Il avait sauvé la France...


A moi j'ai l'impression qu'il me crie "change tout cela !" 


Et des histoires, j'en ai à raconter sur cette vie.

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